Les normes de systèmes de management 9001, 14001 et maintenant 45001 évoluent en intégrant de plus en plus une orientation RSE :
- L’exigence d’analyse du contexte pousse le top management à identifier les enjeux clés de son entreprise
- L’approche des parties intéressées est de plus en plus présente également : l’entreprise se doit de cartographier ses PP et d’instaurer des mécanismes de dialogue efficaces avec celles-ci.
Ces deux précédents points reviennent à réaliser ce qu’il convient d’appeler une « analyse de matérialité » qui vise à établir une hiérarchie pertinente des enjeux d’une stratégie RSE au regard des priorités d’une entreprise (ou tout autre type d’organisation) ainsi que des attentes de ses parties prenantes.
Sur le plan réglementaire, de fortes exigences liées au devoir de vigilance pèsent aujourd’hui sur vos donneurs d’ordres : de plus en plus de preuves de leurs engagements en matière de RSE vous sont demandées. Les lois anti gaspillage pour une économie circulaire, Sapin II, PACTE ou encore l’obligation en matière de reporting extra-financier viennent accentuer cette pression réglementaire.
Par ailleurs, la dernière étude d’AFNOR Certification, « Retour sur 10 ans d’évaluations RSE », a démontré que s’appuyer sur un système de management de type QSE pour déployer sa démarche RSE était un réel avantage : le système de management intégré favorise la planification, la mise en œuvre et l’accomplissement d’actions RSE. De plus, l’expérience des entreprises évaluées dans l’approche processus, qu’implique un système de management QSE, facilite la mise en place logique d’amélioration continue, ce qui est un atout de premier ordre pour appliquer l’ISO 26000 au sein de son organisation.
En conclusion, lors que vous êtes engagés dans une démarche QSE, vous faîtes « de la RSE sans le savoir » et surtout « sans le faire savoir ». Valorisez-le avec le Focus RSE en obtenant le Label Engagé RSE (niveau Progression), 1er label français évaluant la maturité des démarches de RSE.